5 produits d’Apple dont vous n’avez jamais entendu parler

La Pomme a sorti une multitude de produits.

Pippin

pippin

La firme de Cupertino a aussi travaillé dans le domaine vidéoludique, et ce par le biais d’une console : Pippin. Sortie en 1996, 100.000 unités virent le jour.

Si elle doit sa création à Apple, la Pippin s’est retrouvée en rayon grâce à Bandai. D’où le fait qu’elle porte aussi le nom “Bandai Pippin”. Elle était pourvue d’un processeur Power PC 603e, soit l’un de ceux que l’on retrouvait dans les Mac de l’époque.

Quoi qu’il en soit, elle n’a pas eu le succès escompté. Son échec repose, selon les observateurs, fortement sur le marché concurrentiel qui existait à l’époque, soit le milieu des années 90. Difficile de se faire une place entre la Nintendo 64 de Nintendo et la Playstation de Sony pour ne citer que ces deux exemples.

La console offrait l’opportunité aux joueurs de profiter d’un jeu du nom de “Super Marathon”. Un titre produit par Bungie, société très connue aujourd’hui pour être aux manettes de la série Halo.

La Pippin a été un flop commercial avec moins de 50.000 pièces vendues.

TAM

TAM

L’un des premiers Mac qui doit son design à Jony Ive se prénommait “TAM”. Pour l’anecdote, TAM renvoie à “Twentieth Anniversary Macintosh”, soit un nom choisi pour fêter le vingtième anniversaire de la Pomme. Derrière cette unique syllabe, on retrouvait une machine aux caractéristiques moyennes mais dont le prix était très élevé puisqu’il atteignait les 7,499 dollars au lancement. Il fallu attendre moins d’un an pour voir son prix décroître de plus de 50%.

Pourtant, la machine avait quelques qualités à mettre en avant comme son écran plat ou encore son lecteur CD-ROM à chargement frontal. Cependant, ses performances étaient du même ordre que celles du Power Macintosh 6500 dont le prix était nettement inférieur. Effectivement, il ne fallait débourser que 2000 dollars pour cette machine.

Apple avait alors décidé de mettre rapidement fin à l’expérience après avoir commercialisé cet ordinateur dans seulement 5 pays, à savoir les USA, le Japon, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni.

Le TAM n’aurait été vendu qu’à 12 000 exemplaires.

Hockey Puck

Apple-hockey-puck-mouse

Il est ici question d’une souris du nom d’Hockey Puck. Le design et le côté transparent la rendaient directement reconnaissable. Cependant, c’est aussi sa forme qui était son principal défaut. Peu maniable, son style rond était difficile, dans une certaine mesure, à appréhender et à orienter.

Pour réaliser des projets demandant une importante dextérité et surtout de la précision, il devenait complexe d’arriver à un résultat probant à l’aide de la Hockey Puck. D’ailleurs, plusieurs entreprises tiers ont connu une croissance de leurs ventes en matière de souris puisque de nombreux acheteurs décidèrent à l’époque d’abandonner la Hockey Puck.

Elle fut remplacée au début des années 2000.

Power CD

powercd

Power CD a vu le jour en 1993. Il s’agissait d’un lecteur capable de de lire des CD de photos Kodak, des CD-Rom et des CD audio. De plus, l’appareil pouvait se connecter à un Mac, à des systèmes stéréo ou encore aux télévisions. Précisons également que le produit était un lecteur portable. Cependant, le poids était tout de même de 1,4 kg pour 22 cm de large. En d’autres mots, il était facile de le prendre chez un ami par exemple mais pas pour se promener accompagné d’un air de musique.

Le produit a été conçu par Philips mais vendu par Apple sous les couleurs de cette dernière entreprise.

Le Power CD doit sa fin de vie à plusieurs facteurs. Tout d’abord, le fait que les CD de photos ont assez vite été abandonnés. Ensuite, le fait que les Macs qui suivirent la sortie du Power CD ont intégré leur propre lecteur de CD interne a également contribué à la fin du Power CD.

Quick Take

quicktake

Apple n’a pas commencé à se lancer dans la photographie par le biais de ses iPhone. En effet, en 1994, Apple sortait déjà le Quick Tape 100, un appareil photo numérique vendu au prix de 749 dollars. Pour ce faire, l’entreprise à la pomme s’était alliée à un partenaire de choix, à savoir Kodak.

La résolution des photos de l’appareil en question était de 8 fois 640×480 et de 32 fois 320×240. Le Quick Take pouvait même supporter Flash.

Néanmoins, il présentait plusieurs défauts comme l’obligation de connecter l’appareil à un Mac pour effacer des photos et le fait que l’utilisateur n’avait pas la possibilité de zoomer.

Et c’est Steve Jobs qui, en 1997, a décidé de mettre fin au projet.

_
Suivez Belgium-iphone sur Facebook, Youtube et Instagram pour ne rien rater de l'actu, des tests et bons plans.

Recevez nos dernières infos directement sur votre WhatsApp en vous abonnant à notre chaine.